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mardi, 13 janvier 2009

TRACAS FEMININS

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La ménopause

Depuis quelques mois, je connais les symptômes de cet état de fait. Je me suis amusée à écrire un pamphlet. J’ai prit le parti d’en rire. De toute façon, me plaindre ne servirait à rien. Je m’étonne de supporter cette période avec autant de facilité. Je ne prends pas de traitement, je laisse la nature faire son travail. La seule chose que je ne supporte pas s’est de voir ma silhouette s’élargir. Oh ! Cela me sert d’alibi, il est vrai, car je dois l’avouer, j’ai un bon coup de fourchette. J’ai beau me faire violence et comme beaucoup de femmes, je parle régime, je fais régime. Mais, au bout d’un certain temps, je recommence à bien manger.

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Bien entendu, en ce début d’année, je me suis promise de maigrir et de tenir bon pour le régime. Je vous dirai avec sincérité, si j’ai respecté mon intention. Il ne faut pas que je parle d’intention, mais plutôt de but. « Intention » mot qui manque de volonté.

Avant de vous laisser, je vais vous faire partager mon pamphlet.

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Deux mots me gonflent ! Pré-ménopause et ménopause.

 

Oui, les filles !

Mon corps devrait, normalement, faire une pause.

Pourtant, j’ai l’impression d’être une chambre à air.

Je gonfle, je dégonfle… Enfin, quoi, tout pour plaire.

Je ne vous parle même pas des bouffées de chaleur !

Sans oublier, le pourpre, comme couleur.

Je suis une vraie cocotte minute : vapeurs, sueurs.

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Oui, les filles !

Un petit pamphlet pour une étape de ma vie,

Et sourire sur mon corps sans répit.

Deux mots : pré-ménopause et ménopause,

Que j’aimerais faire rimer avec le mot « rose ».

Pas facile pour cet état de chose.

En ce moment, je suis un peu soupe au lait.

C’est un état de fait !

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Alors, je pourrais terminer ce pamphlet satirique

En disant, je suis comme la rose, qui s’y frotte, s’y pique !

 

A demain, Mapie

samedi, 10 janvier 2009

LES CHOIX DE VIE

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Bon, je suis encore avec mes amis le divan et l’ordi. La soirée est bien avancée. Je n’ai pas sommeil ! Alors, je suis bien avec mes deux amis. Je peux ainsi rester seule avec eux et mon écriture. Il me semble qu’ils sont les seuls à me comprendre. Il est vrai que je peux leur raconter n’importe quoi, ils ne vont pas me contredire. Mes amis le divan et l’ordi ne peuvent que m’écouter. Ah ! Si tout le monde pouvait être comme eux.

Je vais donc vous parlez de tout et n’importe quoi. Je vais écrire en vous racontant tout ce qui me passe par la tête. Sincèrement pour l’instant, je ne sais pas quoi vous dire. Je n’ai pas ce soir assez d’imagination pour écrire une comptine.

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Et si je vous parlais de ma ville que j’adore. C’est Marseille ! Pourtant je l’ai quitté depuis maintenant presque 10 ans. Aussi, j’ai perdu pas mal de repères. Parfois, on fait des choix en pensant que c’est le mieux pour notre famille et soi. La vie est une succession de choix, ne jamais se tromper dans ses choix, rendrait la vie trop facile. Ne pas avoir de regrets, ne nous rendrait pas philosophe. Je devrais être un grand philosophe ! Aussi grands que mes préférés comme Montaigne, Voltaire.

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais bien souvent je reviens sur mes choix de ma vie. Comme par exemple, le choix de quitter Marseille pour aller m’installer dans un petit village au sud de l’Ardèche et goûter à la vie rurale. Je pensais que la vie bucolique de mes grandes vacances me plairait pendant toute mon existence. Erreur !

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Ensuite pas facile de revenir en arrière. Surtout lorsqu’on travaille et que l’on est assujettie à une mutation. Mais il faut faire un nouveau choix. Retourner à Marseille ? Je suis une maman, mes enfants sont devenus grands et tous les deux sont sur la Capitale. Tous les deux m’influencent pour que je vienne les rejoindre. Je décide donc pour mon second choix de les suivre. Et voilà, aujourd’hui je suis dans la région parisienne depuis presque deux ans.

Qu’est ce que j’espérais ? Mes enfants sont devenus des adultes, ils n’ont plus besoin de leur maman comme lorsqu’ils étaient petits. De plus, ils travaillent. Ils ont tout simplement leur vie. J’aurais dû y penser ! Je ne les vois même pas tous les week-ends. Je ne leur en veux pas, ils sont prit par le tourbillon de la vie active. Quant à moi, un nouveau poste, de nouveaux collègues de bureau sympathiques, près de mes enfants… J’aime me rendre sur la capitale. Pourtant, je ne me sens pas à l’aise, je me sens déracinée, tout simplement. Ma ville me manque ! Oui, Marseille, ville phocéenne, ville de soleil me manque, la méditerranée me manque.

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Je ne suis pas née dans cette ville du midi de la France. Lorsque j’y suis arrivée, j’avais 8ans et j’y suis partie, j’en avais 45. Je sais très bien que si j’avais passé toutes ces années dans une autre ville, c’est certainement cette autre ville que je porterais dans mon cœur. Mais voilà c’est Marseille ! Et, j’adore cette ville.

Mes choix depuis quelques années n’ont pas été très judicieux. Pourtant, en prenant de l’âge, je pensais que je serais une personne réfléchie et que les choix de ma vie m’apporterait satisfaction. Mais bon ! Ce qui est fait, est fait… Maintenant, il faut simplement que je retourne dans la ville de mon enfance, de mon adolescence et d’adulte, c’est un choix et une certitude.

Mapie