jeudi, 19 mars 2009
Les Comptines de Mapie : Le Petit Gnome SISSO - Chapitre IV et fin -
Bonsoir les enfants ! Comment allez-vous depuis hier ? Etes-vous prêts à lire ou à attendre la suite de mon histoire ? Aujourd'hui, c'est la suite mais aussi la fin. Demain, je vous retrouverai pour de nouvelles aventures.
CHAPITRE IV
- Moi, je suis la JONQUILLE. Il ne faut pas me demander comment je suis arrivée dans cette clairière, car en général, on me trouve plutôt dans les jardins. Mais, je suis bien contente de me trouver ici, nous formons tous une très bonne bande d'amis. Dit, la fleur jaune.
- Eh ! Bien moi, je suis la VIOLETTE, une minuscule fleur. Moi aussi je ne sais comment je suis arrivée ici. En général, on me trouve dans les endroits plus sauvages et plus boisés. Mais comme mon amie la JONQUILLE, je suis bien contente de vivre au milieu de mes amis. Conclue, la minuscule petite fleur.
- Tu es la plus petite d'entre nous, mais tu es celle qui sent vraiment très bon. Remarque, le COQUELICOT.
- Tu devrais rester avec nous SISSO. Tu serais heureux avec nous. Propose le BOUTON D'OR.
- Oui, surtout que moi, j'ai eu une idée, que je tiens à vous l'exposer. Continue, le COQUELICOT.
Les fleurs entourent le petit gnome et le COQUELICOT commence à parler de son idée :
“Vous savez, nous les fleurs nous savons que nos pires ennemis se sont les humains. Les enfants, les parents, qui souvent pour faire plaisir aux uns et aux autres, nous cueillent pour nous placer dans un vase. Là, nous végétons pendant quelques jours, ensuite nous fanons et nous mourrons doucement loin de notre endroit de naissance. J'ai donc pensé que si SISSO voulait rester avec nous, il pourrait nous protéger”
- Comment cela ? Demande la VIOLETTE
- Oui comment ? Répète le BOUTON D'OR.
- Laissez donc le coquelicot terminer ! S'exclame, la jonquille
- Pour ma part, personne ne m'attend ailleurs et je ne demande qu'à vous aider, mais il est vrai que je ne vois pas trop comment ? Questionne SISSO.
Le COQUELICOT continue son raisonnement :
“Pour nous protéger des parents et enfants qui veulent nous cueillir, ou parfois nous écrasent sans faire attention ou ils posent leurs pieds, il suffira que tu fasses du bruit. Par exemple, que tu bouges les herbes ou les feuilles, comme si tu étais un animal qui se trouve près d'eux. Ou encore, imiter le sifflement d'un serpent. Tout en te cachant. Qu'en pensez-vous ?” Demande, le COQUELICOT.
- C'est en effet une très bonne idée. Mais il faudrait voir si SISSO est d'accord pour jouer le rôle de notre ange gardien ? Interroge, la MARGUERITE
- Je serais très heureux d'être votre ange gardien et j'avoue que cela m'amuserait beaucoup. Dit le petit gnome avec un large sourire.
Et c'est ainsi que SISSO s'installa dans la belle clairière au milieu des ses amis les fleurs. Il était vraiment heureux avec elles et étonnamment doué pour chasser les personnes qui voulaient s'approcher d'un peu trop près de ses amis.
FIN
C'est fini ! Je vous souhaite une merveilleuse soirée en famille et demain nous découvrirons une nouvelle comptine. Douce nuit ! Mapie
18:07 Publié dans Comptines, contines, petites histoires | Tags : blog, enfant, famille, parent, ados, juniors, jeunesse, littérature, lire, poésie | Lien permanent | Commentaires (1)
lundi, 26 janvier 2009
NE PLUS ECRIRE ?
Mal de tête…. Week-end foutu !
Bonjour tout le monde, une semaine qui commence…. Et, pour moi ce n’est pas la grande forme. Souvenez-vous ? Il y a quelques temps, je parlais des fins de semaines ou rien ne se passe comme vous le désirez. Eh bien ! Ce week-end cela s’est passé pour « ma pomme » ! Mal de tête…. Et couchée dans la pénombre de ma chambre. Malgré les cachets, rien n’y a fait. Je n’ai même pas pu me mettre devant mon ordinateur. Au contraire, j’avais l’impression que la douleur s’accentuée.
Aujourd’hui, j’ai l’impression qu’une partie de mon crâne est endolorie, mais cela va mieux. J’ai tout de même la crainte que la douleur se réveille. Mes maux sont tellement intenses. Passons, je ne vais tout de même pas disserter sur ma migraine.
Ce matin, j’ai lu mes mails. Il y avait une réponse d’une maison d’éditions, concernant mes comptines. Encore une triste déception avec toujours la même réponse. Mes histoires ne rentrent pas dans le cadre de leur projet d’éditions. Tu parles ! Faut-il que je m’accroche ou que j’abandonne ? Un moment donné, je publiais mes histoires sur un journal du net qui s’appelle LE POST, un journal qui fait parti du quotidien LE MONDE. J’avais pas mal de lecteurs aussi bien grands que petits avec de très bonnes critiques. Cela me motivait un peu pour continuer à écrire. Mais, en ce moment je ne sais plus que trop penser.
Mes proches aussi m’encouragent. Pour eux, les maisons d’éditions n’ont pas envie de perdre leur temps avec une illustre inconnue. Ils me font sourire, car ils vont jusqu’à dire que notre pays par rapport à d’autres pays européens, ne prend plus de risque et se laisse vivre depuis des années et des années sur une certaine notoriété qui commence terriblement à s’user. Dont la créativité ! Les français attendent que les pays voisins innovent et ensuite, ils suivent comme des petits toutous.
Ah ! Mes proches m’aiment beaucoup ! Et moi je les adore, car j’avoue que leur argument me fait du bien et je veux y croire. Donc, pour conclure, j’ai décidé et je continue à écrire.
Mapie
14:22 Publié dans Blog | Tags : les comptines de mapie, maisons d'éditions, éditeurs, éditions, écrire, lire, blog | Lien permanent | Commentaires (0)